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Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Instruments de musique | Bois (instruments de musique) | Instruments à percussion | Instruments à vent | Instruments à cordes | Instruments de musique anciens | Instruments à cordes pincées | Cordes (musique) | Cordes pincées (instruments de musique) | Luth | Tambours (famille d'instruments) | Percussions (instruments de musique) | Instrument à vent, Musique d' | Instruments à clavier | Gravure | Instruments à cordes frappées | Piano | Percussion, Musique de | ...
La joueuse de Vielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/514e1737-la-joueuse-de-vielle

La joueuse de Vielle

La joueuse de vielle, 1907, par Gustave Jacquet (1846–1909). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. La révolution française va provoquer un changement profond de l'usage de la vielle, qui revient alors dans le domaine des instruments régionaux et populaires. Au XIXe siècle, elle tombe en désuétude avant que le Berry, en quête d’identité, ne s’empare de l’instrument ainsi que de la cornemuse pour en faire ses emblèmes. La société des Gâs du Berry, fondée par Jean Baffier en 1888, solidifie cette réputation. Au XXe siècle, dans les années 1960 et 1970, le mouvement « folk » se l’approprie de nouveau et les groupes dits « folkloriques » se constituent.

Lur en bronze danois. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c24b5-lure-brudevaelte-anagoria

Lur en bronze danois

Le lur ou lure est un instrument de musique à vent scandinave. C'est une sorte de trompe plus ou moins droite. On retrouve l'appellation lur dans les Sagas islandaises (lors du Ragnarök, Heimdall, gardien de Bifröst, souffle dans son lur pour appeler hommes et dieux au combat). Lors de fouilles, les lurs sont souvent retrouvés par paires. Plus d'une cinquantaine de lurs en bronze ont ainsi été retrouvés en Suède, Danemark, Norvège et Allemagne. Le lur était utilisé à des fins guerrières, servant à rassembler les troupes et à effrayer l'ennemi. Il servait aussi aux funérailles. La version en bois avait une vocation pastorale proche du cor des Alpes et semble toujours en activité dans les pays nordiques. Il en existe deux types : le lur en bois (du Moyen Âge) et le lur en bronze (de l'âge du bronze), datant d'environ 14 siècles avant Jésus-Christ. Il mesure entre 1 et 2,5 mètres et il n'y a aucun de trou de jeu. Il est en forme de S et se termine par un disque décoré faisant office de pavillon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lur_%28instrument%29

Lur norvégien en bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2603-neverlur

Lur norvégien en bois

Lur norvégien en bois datant du Moyen Âge (le lur en bronze date de l'âge du bronze). Il mesure entre 1 et 2,5 mètres et il n'y a aucun de trou de jeu. La version en bois avait une vocation pastorale proche du cor des Alpes et semble toujours en activité dans les pays nordiques. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Neverlur.JPG.

Lyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/515d755e-lyre

Lyre

La lyre est l'un des instruments à cordes pincées dont les cordes sont parallèles à la table d'harmonie et dont la caisse de résonance ne se prolonge pas par un manche ; une structure similaire à celle de la harpe accueille la fixation des cordes. C'est sa position (parallèle à la caisse de résonance) qui la différencie de la harpe.

Maddalam kéralais indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53514598-maddalam

Maddalam kéralais indien

Le maddalam, mattalam ou madale est un instrument de percussion du sud de l'Inde. C'est un tambour en tonneau à deux faces. Il est utilisé dans la musique kéralaise rituelle par la caste des Mârârs. Le lourd fût long de 60 cm est taillé dans du bois de jacquier. Les épaisses membranes en peau de veau sont maintenues au moyen d'un laçage de cuir de buffle. Une pastille noire similaire à celle du mridangam recouvre une face du maddalam afin d'obtenir des harmoniques. Une pâte blanche amovible de farine ou semoule est collée contre l'autre face afin d'accorder la face basse. On en joue debout, l'instrument étant suspendu horizontalement à une bandoulière autour des épaules ; il est recouvert d'un tissu miroitant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maddalam

Mailloches. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cdd31b-mailloches

Mailloches

Mailloches ou Battes pour surdo. Une mailloche appelée aussi cigogne ou parfois batte (en musique) est un maillet utilisé pour frapper différents instruments de percussions, par exemple la grosse caisse, le surdo ou le vibraphone. Différentes variétés de mailloches permettent d’obtenir des sons différents. Une mailloche est composée de deux parties : 1) le manche en bois ou autres matériaux ; 2) la tête de forme, de grandeur et de texture différentes, généralement ronde et recouverte de peau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mailloche.

Marimbula cubaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/532825b7-marimbula

Marimbula cubaine

La marimbula, marímbula ou basse kalimba est un instrument de musique originaire de Cuba. C'est un lamellophone qui ressemble à une grosse sanza africaine, dont elle est sans doute une descendante. Son usage s'est répandu à toute la région des Caraïbes (manuba en Haïti) et à l'Amérique. Le musicien fait vibrer les lames avec les doigts, et le son produit est amplifié par la caisse de bois, qui sert de résonateur. La longueur de la lame détermine la hauteur de la note. La caisse sert également de siège au musicien.

Mobilier du seizième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5308688b-mobilier-du-seizieme-siecle

Mobilier du seizième siècle

Planche 79, Mobilier du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-7, casques ; 8, couronne anglaise ; 9, couronne impériale germanique ; 10, couronne française ; 11, couronne espagnole ; 12-16, épées ; 17-23, hallebardes, lances et massue ; 24, insigne de l'ordre de la Toison d'Or ; 25, ordre du Saint-Esprit ; 26, insigne de l'ordre de la jarretière ; 27, jarretière ; 28, mousquet ; 29-35, instruments de musique ; 36-39, encrier, plumes et matériel d'écriture ; 40-45, objets pour boire ; 46, plat ; 47, sac de dame ; 48, coffre en bois ; 49-51, chaises ; 52-54, tables ; 55, lit ; 56, berceau.

Mobilier du XIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5307309a-mobilier-du-xieme-siecle

Mobilier du XIème siècle

Planche 35, XIème siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1 à 12, instruments de musique ; 13, arbalète normande ; 14-13, anneaux et crosse d'évêque ; 16-18, boucliers ; 19-20, dague et épée ; 21, bannière ; 22, fourchettes et couteau ; 23, carafe ; 24, seau en bois ; 25-28, sceptres ; 29-32, sièges ; 33-34, pupitres ; 35, table avec nappe et couverts ; 36, lit.

Mobilier et armes du quinzième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5307b0cd-mobilier-et-armes-du-quinzieme-siecle

Mobilier et armes du quinzième siècle

Planche 61, mobilier du quinzième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-7, casques ; 8-15, armes ; 16, arbalète ; 17-19, épées ; 20-22, boucliers ; 23, éperon ; 24-29, instruments de musique ; 30, Ordre de la Toison d'Or en 1430, 31, vases à boire ; 32, berceau ; 33, lit ; 34-35, chaises ; 36, table ; 37, trône ; 38, coffre en bois.

Paire d'os musicaux en bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53071a49-paire-d-os-musicaux-en-bois

Paire d'os musicaux en bois

Les os musicaux, joués par deux, sont un instrument de musique idiophone, c'est-à-dire un instrument de percussion (ou de concussion) résonnant par lui-même. À l'origine constitués d'une paire d'os d'animaux (portions de côte ou de tibia), ils sont désormais disponibles en bois ou matériaux similaires, ou parfois remplacés par des cuillères. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Os_%28instrument%29

Piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee92e1-piano-a-queue

Piano à queue

Le piano à queue est un piano à cordes horizontales.

Piano droit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee91a7-piano-droit

Piano droit

Le piano est un instrument de musique polyphonique à clavier de la famille des instruments à cordes frappées. Un piano droit (ou piano vertical) est un piano dont les cordes sont disposées verticalement.

Piccolo flûte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea532-piccolo-flute

Piccolo flûte

Le piccolo est un instrument de musique à vent, plus précisément un bois appartenant à la famille de la flûte traversière. Il est également appelé "petite flûte".

Plaque de frappe d'un cajón. Source : http://data.abuledu.org/URI/53048d4c-plaque-de-frappe-d-un-caj-n

Plaque de frappe d'un cajón

Le cajón est un instrument de musique inventé au Pérou au XVIIIe siècle. Il fut très certainement à ses débuts une caisse destinée à la cueillette des fruits ou à la pêche des poissons, c'est une caisse de résonance parallélépipède, de 50cm x 30cm x 30cm (hauteur/largeur/profondeur) en moyenne. La plaque de frappe (devant) est plus fine que les autres côtés, ce qui permet une élasticité et une résonance propre au cajón. Au dos, un trou d'environ 10cm de diamètre permet la sortie du son (même effet qu'un évent de décompression d'une enceinte de sono). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Caj%C3%B3n.

Pluriarc anthropomorphe gabonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/54beb76b-pluriarc-anthropomorphe-gabonais

Pluriarc anthropomorphe gabonais

Pluriarc anthropomorphe. Bois. Afrique équatoriale et centrale (Gabon, Congo). Musée barrois. Un pluriarc ou "luth à archet" est un instrument à cordes africain. Évoqué dès le XVIe siècle dans des récits de voyage, il est décrit au XVIIe siècle par Michael Praetorius dans son Syntagma musicum. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pluriarc

Qraqebs maghrébins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331af54-krakeb

Qraqebs maghrébins

Les qraqeb sont des instruments de percussions idiophones maghrébins. C'est un genre de castagnettes utilisé par les Gnaouas, assez similaires aux anciens crotales. Généralement en fer battu, mais des variétés en bois existent, les qraqeb sont des castagnettes montées sur un manche, ayant la forme d'une cuillère à double embout, de 20 à 30 cm de long. Chaque exécutant utilise deux paires, et les entrechoque par des mouvements d'ouverture-fermeture. Ces quatre qraqeb sont très sonores et rythment la musique gnaoui jouée sur le luth guembri. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Qraqeb

Ravanhatta indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533454a2-ravanhatta

Ravanhatta indien

Le ravanhatta est une vièle rustique indienne considérée comme l'ancêtre le plus primitif du violon et du rabâb. Selon la légende, il aurait été inventé en 3 000 avant notre ère par Ravana, roi de Ceylan. Il est constitué de deux cordes en boyau de gazelle accordées à la quinte, un chevalet, une caisse de résonance en noix de coco, un manche en bois, des chevilles et un archet en bambou ; celui-ci est percé au talon d'un trou dans lequel passe la mèche arrêtée par un nœud et à la pointe, c'est dans une fente que vient se fixer, par un nœud également, l'autre bout de la mèche. Il est ainsi courbé comme un arc (à la différence de l'archet moderne). On note la position particulière de l'archet : celui-ci est bloqué par la mèche entre les deux cordes, et l'on frotte l'une ou l'autre de celles-ci selon que l'on met l'archet vers l'avant ou vers l'arrière. Cet instrument est très joué dans le folklore du Rajasthan et par les musiciens itinérants. Il se joue souvent debout, tenu contre la poitrine, en même temps que le musicien chante. Il est parfois accompagné des castagnettes indiennes kartal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ravanhatta

Rouleur réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/534806b1-rouleur-

Rouleur réunionnais

Le rouleur, ou roulèr, est un gros tambour frappé à deux mains, l’exécutant est assis à cheval sur lui : ce qui permet de modifier la tension et donc le timbre en se servant d’un de ses pieds. Les différentes graphies du nom sont quant à elles le reflet de différentes prononciations suivant les locuteurs considérés ou l’époque : rouleur, houleur, ouleur, oulèr, oulère, rouler. Le rouleur ou houler doit probablement son nom à son usage. En effet on roule le maloya, c’est-à-dire qu’on roule les hanches en dansant. En outre l’instrumentaliste fait des roulements et donc fait rouler ses mains sur la peau du tambour. Le rouleur peut aussi tirer son nom de la musique qu’il produit : fait rouler maloya. Cet instrument se retrouve à l'île de la Réunion (et Rodrigues où on le nomme simplement tambour). Traditionnellement fabriqué dans un tronc évidé au bois variable d'au moins 70 cm de long et 50 cm de diamètre, il est souvent conçu aujourd'hui avec une barrique ou un tonneau dont on a détruit les deux extrémités. Le plus souvent, la peau est de bœuf ou de cabri collée sur un cercle de bois comportant des cymbalettes. Le rouleur se joue maintenu au sol en position horizontale, le musicien accroupi à cheval dessus. Le talon est parfois utilisé pour percuter l'instrument en plus des mains. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Rouleur

Ruan chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330462e-ruan-chinois

Ruan chinois

Le ruan chinois est un luth à manche long appelé aussi guitare-lune. C'est un instrument que l'on retrouve dans toute l'Asie du Sud-Est. La caisse de résonance est ronde et plate, percée en général de deux ouïes près du long manche qui se prolonge sur la table d'harmonie en bois. Il est prolongé par un grand chevillier courbe avec quatre grandes chevilles. Il y a quatre cordes en soie ou métal, fixées non au chevalet, mais au bas de la caisse. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ruan_%28instrument%29

Santouri grec. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2a10-sandouri-grec

Santouri grec

Santouri grec datant de 1940-1960. Le santouri est un instrument de musique iranien, diffusé par tout le Moyen-Orient appartenant à la famille des cithares sur table. On en joue à l'aide de deux petits marteaux placés entre les doigts. Il est imposant par sa taille (100 cm × 60 cm × 10 cm avec angle à 70°) et par la disposition des cordes offrant six sections de jeu. La caisse de résonance est en érable, en hêtre ou en bois de rose laminé ; les côtés sont coupés en deux et recollés en inversant le fil du bois afin d'assurer une meilleure stabilité. La table d'harmonie en épicéa ou en sapin est percée de deux grosses ouïes hexagonales avec sept trous ronds (ou deux grosses rosaces rondes) placées au centre et à gauche de la série de chevalets médians. Il a environ 115 cordes (en acier, en bronze et en cuivre fileté) disposées en chœurs de 2, 3, 4 ou 5 sur cinq séries de chevalets (non amovibles, reliés par des sillets en métal) composés de barres de soutien creusées pour permettre leurs passages. L'accord est complexe et rend le jeu difficile du fait des croisements lors des changements de série de chevalets. Les chevilles filetées sont placées sur le dessus, à droite, à côté de la table d'harmonie, et non pas sur le côté de la caisse de résonance. Là aussi il faut des calibres de cordes différents pour assurer le rendu correct des harmoniques de l'échelle chromatique. Les mailloches sont imposantes (25 cm), lourdes, toujours entourées d'étoupe à l'extrémité, afin de feutrer le son, et jouées avec les poignets, bien que tenues penchées, entre deux ou trois doigts (autrefois on en jouait aussi avec les avant-bras, d'un peu plus loin, avec les baguettes tenues droites, dans lesquelles étaient creusés des trous pour les index). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Santour

Sarrussophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/511270ee-sarrussophone

Sarrussophone

Les sarrussophones sont des instruments de musique de la famille des bois. Ils furent inventés durant la deuxième moitié du XIXe siècle par Pierre-Auguste Sarrus et construits par Pierre-Louis Gautrot, un peu après l'invention des saxophones.

Schéma de basson. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffc91d-schema-de-basson

Schéma de basson

Le basson est un instrument de musique de la famille des bois, qui apparaît à la fin du XVIe siècle en Italie sous le nom de fagotto. Il est formé d'un long tuyau de perce conique d'environ 2,50 m en bois précieux (principalement l'érable ou le palissandre), replié sur lui-même, que l'instrumentiste, appelé bassoniste, tient sur son côté droit. Le bonnet (6) est orienté vers le haut, la grande branche (5) et la petite branche (3) sont reliées entre elles par la culasse (4) en forme de U très serré. L'anche double (1) est fixée au bout d'une pièce métallique de 0,30cm, également conique et en forme de point d'interrogation appelée bocal (2).

Serinette. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fff60d-serinette-

Serinette

Serinette fabriquée par Bennard à Mirecourt, dans les Vosges, en 1757 exposée au Musée Historique de Lausanne : une serinette est un instrument de musique mécanique primitif assimilable à un orgue destiné à apprendre des mélodies courtes à des oiseaux siffleurs. Elle est à l'origine du verbe "seriner" (répéter de nombreuses fois). Ces instruments sont relativement simples. Ils sont composées d'un cylindre de bois comportant des pontets en métal. Ceux-ci commandent l'ouverture de petits clapets qui admettent de l'air dans des tubes d'orgue (généralement en étain) accordés au notes de l'instrument. L'air est brassé par deux soufflets en peau eux-mêmes actionnés par une manivelle. C'est également cette manivelle qui fait tourner le cylindre avec la mélodie au moyen d'une vis sans fin. Le morceau « enregistré » sur le cylindre dure de 10 à 20 secondes, dépendant beaucoup de la personne qui joue de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Serinette.

Shamisen japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316199-shamisen

Shamisen japonais

Le shamisen, "trois cordes parfumées", est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse mesurant de 110 à 140 cm, dont la caisse de résonance carrée est traditionnellement construite en bois de santal et recouverte de peau de chat ou de chien. À l'exception du shamisen de l'île d'Okinawa qui est traditionnellement recouvert de peau de serpent et est appelé sanshin ou jabisen. La table en peau fait qu'on donne parfois au shamisen le nom de "banjo japonais". Le manche est long et fin, sans frettes. Il est muni de trois cordes (d'où le nom de l’instrument, qui signifie littéralement « trois cordes du goût ») de soie ou de nylon. On joue du shamisen agenouillé sur un zabuton en pinçant les cordes à l'aide d'un large plectre en ivoire (bâshô ou bachi). La musique traditionnelle au shamisen intercale au milieu de la mélodie de longs silences qui donnent d'autant plus de force aux notes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shamisen

Sheng asiatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53303f43-sheng-

Sheng asiatique

Le sheng est un instrument de musique à vent à anche libre. Orgue à bouche chinois, il date de 2000 avant JC puisqu'il est mentionné dans le Che-king (Livre des Odes ou de la Poésie). Le sheng a un réservoir en métal et entre 17 et 30 tuyaux en bois d'ébène ou en métal chromé, muni chacun d'un petit orifice à couvrir avec les doigts (comme une flûte) et une anche libre, permettant ainsi une polyphonie tant à l'inspiration qu'à l'expiration. On pense souvent que ce sont Johann Wilde et le Père Amiot (respectivement en 1740 et 1777) qui ont ramené les premiers shengs en Europe à la suite de leur voyage en Chine. C'est seulement au début du XIXe siècle que le sheng d'Amiot inspira l'invention de l'harmonium, de l'harmonica puis de l'accordéon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sheng

Surdo brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330510f-surdo

Surdo brésilien

Le surdo est un instrument de percussion membranophone, qui est utilisé dans la samba. De forme cylindrique avec du fer, il est façonné dans un fût de bois ou de métal de 50 à 70 cm de haut et de 16 à 26 pouces (40 à 65 cm) de diamètre. C'est le plus volumineux des instruments de la formation rythmique. La plupart des surdos modernes sont désormais réalisés en métal, principalement en acier mais aussi en alliage d'aluminium. Certains fabricants proposent cependant des surdos dans d'autres matières, comme par exemple en Plexiglas, pour obtenir des effets de transparence sur le fût. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surdo

Tarogato hongrois. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4317-tarogato

Tarogato hongrois

Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.

Trompe de chasse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec4af4-trompe-de-chasse

Trompe de chasse

Trompe de chasse. La trompe de chasse est un instrument de musique français en cuivre ou laiton, utilisé pour la vénerie. Issu des instruments de communication cynégétiques venant de la nuit des temps signalant par des sons lents ou courts, aigus ou graves, les différentes situations pendant la chasse. Ces instruments étaient faits de cornes d'animaux, de bois puis de cuivre. Les langages exploités par ces instruments s'appelaient les cornures. On chassait alors "A cor et à cris".

Vibraslap vu de face. Source : http://data.abuledu.org/URI/53049c8d-vibraslap-vu-de-face

Vibraslap vu de face

Vibraslap vu de face : instrument de percussion, composé d'une poignée en métal en forme de « U » avec d'un côté une boule de bois et de l'autre, une caisse de résonance, en bois également. Celle-ci est pourvue de parties mobiles (les petites tiges métalliques visibles sur la photo) qui viennent toucher les parois de la caisse lorsqu'on utilise l'instrument. Le vibraslap se tient fermement par la poignée ou se fixe sur un support. Le fait de frapper la boule, ou d'appuyer dessus pour la relâcher brusquement, provoque une vibration le long de la poignée, qui se transmet ensuite à la caisse de résonance et provoque une stridulation plus ou moins forte.

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4c1b-hurdy-gurdy

Vielle à roue dite Hurdy Gurdy

Hurdy Gurdy, 1700 (Germanic National Museum, Nuremberg). La vielle à roue est un instrument à cordes frottées par une roue en bois au lieu d'un archet. La roue est tournée avec une manivelle, pendant que la main gauche du musicien joue la mélodie sur un clavier. Deux cordes, appelées chanterelles, passent par le clavier ; leur longueur de vibration est changée par l'action des touches appelées sautereaux. Le sautereau est un élément du clavier de la vielle à roue qui comprend des tiges coulissantes pour chaque note. Les sautereaux sont fixés sur chaque tige par groupe de deux (deux cordes en chanterelles) et permettent, comme le doigt du violoniste, de déterminer la partie de corde vibrante. Après appui sur la tige du clavier, celle-ci est rejetée par la vibration des cordes, faisant ainsi reculer la paire de sautereaux. Un nombre variable de cordes, passant hors du clavier, émettent chacune un son, formant ainsi un accord continu : ce sont les bourdons (gros bourdon, petit bourdon, mouche et corde de chien ou trompette). Au-dessous des bourdons se trouvent parfois des cordes sympathiques qui donnent au ton un caractère plus doux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vielle_%C3%A0_roue. Parmi les bourdons, une corde particulière donne cette caractéristique originale de la vielle qui est de pouvoir rythmer une mélodie. Cette corde ne passe pas sur un chevalet fixe, mais repose sur une petite pièce de bois appelée le « chien », elle-même maintenue sur la table d'harmonie par la pression de la corde. Lorsque cette corde vibre suffisamment, la pièce de bois vibre alors sur la table, et génère un son comparable à un grésillement. L'instrumentiste produit cette vibration par une frappe de la manivelle, que l'on appelle détaché ou « coup de poignet ».

Viola de cocho brésilienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343e38-viola-de-cocho

Viola de cocho brésilienne

La violão et la viola sont les termes portugais (dérivés de la vihuela espagnole) désignant des variétés de guitares répandues dans le monde lusophone, au sein de la musique portugaise, capverdienne et brésilienne. Violão désigne la guitare classique et viola désigne la guitare folklorique. Elle se rencontre au Mato Grosso (Cuiabá) et Mato Grosso do Sul (Corumbá), et a des caractéristiques uniques, qui la rattachent plus aux instruments du Moyen Âge (guiterne). Le corps, le manche (très court) et le chevillier sont excavés d'un bloc de bois léger monoxyle. De fines plaques de bois sont ensuite collées sur la touche, sur la table d'harmonie et le chevillier légèrement courbé. Il n'y a aucun vernis et l'instrument semble rudimentaire. Il n'y a que deux ou trois frettes en boyaux. Elle est montée avec cinq cordes en nylon ou boyaux, fixées sur cinq chevilles à l'ancienne. L'accord est Sol - Ré - Mi - La - ré ou Sol - Do - Mi - La - ré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol%C3%A3o

Virginal anglais de 1641. Source : http://data.abuledu.org/URI/53343a9a-virginal

Virginal anglais de 1641

Virginal de Gabriel Townsend, Londres 1641 (Bruxelles, Musée des Instruments de Musique). La décoration est très recherchée : des moulures rapportées ou taillées dans la masse structurent le décor de la caisse en y délimitant des panneaux rectangulaires, octogonaux ... La partie frontale, la boîte à clavier et l'alentour de la table d'harmonie sont ornées de papier gaufré et doré ; l'intérieur du couvercle et celui du portillon reçoivent une décoration peinte figurant un parc à l'anglaise (St James' Park). La table d'harmonie est peinte à la façon flamande (avec fleurs et oiseaux) ; les rosaces (de une à quatre) sont en bois ou parchemin doré, avec motifs géométriques, entourées de couronnes florales peintes très travaillées. Le nom du facteur et la date, parfois le lieu, sont inscrits à l'avant du chapiteau. "Virginal" (mot venant peut-être du bas latin Virga, vergette), était employé en Angleterre pour désigner le clavecin. À partir de 1650 les termes harpsichord et spinet ont été préférés. Le virginal est un instrument de musique à « vergettes » (sautereaux), de la famille des instruments à clavier et à cordes pincées qui comprend également le clavecin et l'épinette. L'apparition la plus ancienne du terme se situerait en 1460 dans le "Tractatus de Musica" de Paulus Paulinirus. Sa forme est celle d'un coffre, avec un clavier rentrant dans une niche appelée boîte à clavier. La disposition clavier/plan de cordage du virginal flamand est d'origine italienne. Il n'a qu'un seul clavier. L'unique rang de cordes chromatiques permet de disposer les cordes, en travers de la touche du clavier (angle de 10 degrés) plutôt que dans le prolongement de la touche comme dans le clavecin — c'est également le cas des épinettes à l'italienne, dont les cordes sont en biais. Il y a une corde par note, les cordes consécutives sont rassemblées par deux. Il y a une corde à gauche et une à droite dans la travée recevant deux sautereaux alternés. C'est la travée double. Par exemple Mi bémol à gauche et Mi à droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_clavecin

Vue arrière d'un cajón. Source : http://data.abuledu.org/URI/5304974e-vue-arriere-d-un-caj-n

Vue arrière d'un cajón

Vue arrière d'un cajón (DoubleShot de la S-Série des percussions Kopf) : au dos, un trou d'environ 10cm de diamètre permet la sortie du son (même effet qu'un évent de décompression d'une enceinte de sono). D'apparence rudimentaire, il offre de multiples combinaisons sonores s'adaptant à tous les genres musicaux même s'il reste l'instrument phare des musiques latines, traditionnellement des musiques criollas de la côte péruvienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Caj%C3%B3n

Xylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f01496-xylophone

Xylophone

Le xylophone (des racines grecques xylo : bois et phon : son) est un instrument de musique à percussion, de la famille des idiophones (classe des lamellophones). Le xylophone est constitué de lames de bois ou de métal de différentes longueurs extensibles qui sont frappées au moyen de mailloches terminées par une sphère parfois recouverte de caoutchouc ou de feutre. L'accordage des lames se fait différemment suivant les époques et les lieux surtout. La disposition des lames est, le plus fréquemment, semblable à celle du clavier de piano.

Zourna d'Azerbaïdjan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347e5c1-zourna-azerbaidjan

Zourna d'Azerbaïdjan

Zourna, instrument de musique à vent d'Azerbaïdjan (Exposition Azerbaïdjan musée de Cognac novembre 2012). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier ; elle se joue debout, souvent avec la technique du souffle continu. Elle a un registre d'une octave et demie, et l'accord est diatonique ; la justesse du jeu, d’autant plus problématique que la musique orientale utilise des quarts de ton, dépend beaucoup de la compétence du musicien. Celui-ci doit adapter constamment la hauteur des sons en faisant varier la pression du souffle et des lèvres sur les anches. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Azerbaijani_folk_instrument_Zurna.JPG

Zurna anatolienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53395baa-zurna

Zurna anatolienne

La zurna est un instrument à vent à anche double de la grande famille des hautbois dont les origines sont anatoliennes. Elle tire son nom du persan زورنه (zur : fête, corne ou force et ney : roseau). Elle est fabriquée en bois de mûrier, de buis ou d'abricotier. La perce est cylindrique pour la partie supérieure, conique pour le pavillon et rappelle son ancêtre, la corne. Elle a huit trous (dont un pour le pouce et un d'accord). Un petit tuyau de bois fendu est inséré dans le conduit principal afin de guider l'air et afin d'en obturer certains trous éventuellement. L’anche double amovible en roseau plié est fixée à un support de métal, qui lui-même est fixé sur une rondelle protectrice en bronze. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Zurna